500 questions regroupées en 8 grands thèmes
1. Marché et organisations
2. Salaires et marché du travail
3. Production, consommation et investissement
4. Monnaie, taux d’intérêt et inflation
5. Banques et Banques centrales
6. Le commerce international
7. Les relations monétaires internationales
8. Politique économique
Qu’est-ce qu’un marché ? Qu’appelle-t-on une défaillance de marché ? Comment expliquer la loi des rendements décroissants ? Pour quelles raisons les dépôts de la clientèle sont-ils comptabilisés dans le passif d’une banque ?…
L’auteur propose des réponses courtes, claires et efficaces à toutes ces questions.
Des encadrés font des points précis pour compléter les connaissances : définitions, méthodes de calculs…
Schémas et graphiques illustrent également les réponses pour encore plus de clarté, et un index complète l’ensemble pour faire de cet ouvrage un véritable outil de travail pour les étudiants en classes préparatoires, en Licence et en Master.
Mondialisation, crise financière, compétitivité, agences de notation, déficit commercial, récession, etc. Ces termes économiques nous sont désormais familiers tant ils sont quotidiens dans les médias. Pourtant, le contenu de ces expressions reste vague pour les non-spécialistes. Dans un monde où les questions économiques deviennent essentielles, il est utile de comprendre exactement la définition des mots qui structurent la vie et la pensée en économie. L’objectif de ce dictionnaire est d’aider le plus large public à mieux saisir le sens des articles de presse et débats d’une société en pleine mutation. Philippe Narassiguin est Docteur d’Etat de l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne. Spécialiste des questions monétaires et financières, il a publié plusieurs ouvrages universitaires sur l’unification monétaire, la monnaie, les banques et l’économie monétaire internationale. Son dernier ouvrage Sortir de l’Euro a été publié aux Editions Persée en 2012
La mise en place de l’euro modifie progressivement le paysage bancaire en Europe. Une nouvelle classification des dépôts a été adoptée par l’ensemble des pays de la zone euro et les agrégats monétaires (MI, M2, M3) ont été harmonisés. Le marché monétaire opère désormais à l’échelle européenne avec des taux d’intérêt communs tels que l’eonia ou l’euribor et une politique monétaire commune. Néanmoins, les éléments de différenciation restent nombreux. Les placements financiers conservent des caractéristiques spécifiques, les lois bancaires restent très largement marquées par leur origine nationale, les pratiques et la gestion bancaires sont différentes – même si les normes comptables sont identiques – et les banques centrales nationales restent très engagées dans le refinancement de leurs systèmes bancaires car elles définissent en accord avec la Banque centrale européenne les actifs éligibles en matière de refinancement. Les différents thèmes qui sont étudiés dans cet ouvrage permettront au lecteur de comprendre sans difficulté le fonctionnement des systèmes bancaires, des banques centrales nationales et de la Banque centrale européenne au sein de la zone euro. Destiné aux professeurs et étudiants des 1er et 2e cycles de Sciences économiques, il s’adresse aussi plus largement à tous ceux qui s’intéressent aux problèmes bancaires.
Cet ouvrage a pour objectif de permettre aux étudiants en économie de réviser le cours de Monnaie, banque et financement de l’économie. Rédigées par Philippe Narassiguin, spécialiste des questions monétaires et financières, les 33 fiches de cet ouvrage comprennent:
- Les fiches de cours comprenant les définitions à connaître, les erreurs à éviter, les points essentiels à retenir;
- Des exercices corrigés pour vérifier ses connaissances;
- Des repères bibliographiques pour aller plus loin.
Un ouvrage essentiel à posséder pour bien réviser, tout au long de l’année ou en vue des examens.
Le traité de Maastricht avait mis au premier plan la problématique de l’unification monétaire.
Ce livre aborde les questions que chacun se pose simplement. Il évalue la performance des systèmes monétaires européens. Il définit ensuite la monnaie unique et indique que des conditions strictes doivent être respectées si l’on veut parvenir à une union monétaire avec un minimum des coûts économiques et sociaux. Il traite enfin les questions telles que l’indépendance de la banque centrale ou encore la coordination des politiques budgétaires.
Les divers thèmes qui sont étudiés devraient permettre au lecteur de comprendre sans difficulté les questions théoriques relatives à l’unification des zones monétaires et de se mettre au courant des recherches empiriques qui sont effectués dans ce domaine.
« Sortir de l’Euro, cataclysme ou renaissance », telle est le titre de cet ouvrage.
Il ne se passe pas un jour sans que ne soit évoquée la crise de l’euro : le citoyen est inquiet. On lui avait promis une unification monétaire qui allait dynamiser la croissance économique, réduire le chômage et améliorer son niveau de vie. C’est tout le contraire qui s’est produit. Cet ouvrage donne au lecteur la possibilité de comprendre plusieurs questions essentielles. Que contient la notion d’union monétaire ? Pour quelles raisons a-t-on ignoré les grands théoriciens de la monnaie unique ? Quels sont les critères qui permettent de réussir l’unification monétaire ? Quelles ont été les répercussions de la suppression des monnaies nationales sur la vie quotidienne des gens ? Pourquoi la compétitivité de la quasi-totalité des pays de la zone euro s’est-elle effondrée ?
Cet ouvrage donne en outre toute une série d’indications sur les raisons de la croissance phénoménale des dettes publiques, sur le rôle des agences de notation, sur les politiques de change des pays émergents.
L’ouverture des économies sur le monde a approfondi et renouvelé les thèmes relatifs aux questions monétaires internationales. Avec l’internationalisation et l’interprétation des économies, la régulation par les prix devient fondamentale : prix des biens et services, taux de change, taux d’intérêt, cours de titres. Plus que jamais, les prix agissent sur la position des balances des paiements, et sont au cœur de la stratégie des entreprises – prix des biens et services – ou des États, à travers le taux de change et la fixation des taux d’intérêt. L’arrivée des pays émergents, a montré que les États mènent des politiques actives de taux de change, afin d’influencer en leur faveur les exportations domestiques et les flux d’investissements directs, créateurs d’emplois. Les pays adoptent des régimes de change conformes à leurs intérêts, d’où leur grande diversité : changes fixes, flexibles, régimes de caisse d’émission, changes administrés, « dollarisation ». L’explosion du commerce mondial, a accru de façon colossale, les réserves de change des Banques centrales, dont la gestion devient un enjeu. La mise en œuvre de l’euro est une source de déception pour une partie de l’opinion publique, car elle n’a pas généré la croissance et permis la création d’emplois. Ce n’est pas la monnaie unique qui est en cause, mais les conditions de sa création, qui ont ignoré les fondements théoriques de l’intégration monétaire. La réussite de l’euro passe par la mise en place d’un vrai budget européen, d’un véritable marché des bons du Trésor européen et par une politique de change qui prenne en compte l’intérêt de chacun des pays membres.